• HISTOIRE VRAIE

    Voici,cette nouvelle rubrique qui me concerne.
    Comme je l'ai déjà dit cette rubrique m'a été conseiller par faby1511 et boubou,car elle concerne une belle partie de mon histoire de sapeurs pompiers de paris,et oui, j'étais pompiers.Donc je vais vous conter cette belle aventure humaine mais surtout parfois très morbide.





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  • UNE INTERVENTION LOURDEVoici une drôle intervention qui fut fatigante et spéciale.

    Ce fut un mardi matin, je devais partit en permission pendant 3 jours (enfin un peu de repos).
    La sonnerie retenti pour nous, ça y est on décale juste avant ma perme alors que j'avais été de garde toute la nuit, il était 10h00 du matin.
    mon sergent me dit:"allez,on décale ta perme on verra après."
    Je lui demanda:"où est ce que l'on décale".
    Il me répondit:"on va a la tour eiffel, mais je ne sais pas pourquoi car le GREP (section des sapeurs pompiers qui intervient dans les endroits difficile d'accès et qui sont habituer a travailler en rappel) n'est pas disponible car déjà en intervention".
    Nous arrivâmes a la tour eiffel, et la surprise du chef, on nous dit que l'intervention a lieu au troisième étages de celle-ci (et je vous rappel qu'un pompier ne prend JAMAIS un ascenseur, dur!!).
    Nous voila parti pour l'intervention et je peux vous dire que les escaliers de la tour eiffel je ne les monterais plus jamais lol.

    Arrive en haut,nous remarquons un homme a terre, ce fut un monsieur d'un quarantaine d'années qui avait eu un malaise,mais il n'était pas conscient et ses jours n'étaient pas en danger donc notre sergent décida de le descendre par les escaliers ,mais voila ce que je vous réserve comme surprise, c'est que cet homme devait pesé environ 250kilos.

    Notre sergent eut confirmation de l'ordre de le descendre de la haut car le GREP ne sera pas la avant une bonne heure, donc nous primes notre courage a deux mains et commencions a descendre par les escaliers.
    Ce fut la pire décision que notre sergent a prise, car on était a 4 personnes pour le descendre et quel galère.

    Tout ce que je peux vous dire,c'est que moi ainsi que mes camarades avons eu l'idée de le faire rouler dans les escaliers, et c'est grâce a cela que nous partîmes dans une  grosse rigolade qui nous fîmes oublier cet homme que nous étions entrain de descendre.

    Arrive au premier étage, notre sergent reçu un message par  radio que le GREP était arrive et qu'il avait fini plutôt que prévus  et je peux vous dire que ce fut un gros soulagement quand nous  avons  eu un grand soulagement de joie.
    Et c'est de cette façon que nous terminions notre intervention, avec l'arrivée du GREP, un grand merci a eux car, ils ont mis l'homme en coque puis dans un brancard puis ils l'attachèrent et le fit descendre en rappel depuis le premier étage de la tour eiffel.
    Nous repartîmes a la caserne et je puis prendre ma permission qui fut bien mérite.
    Voila fin de ce troisième volet.
    J'espère que mes histoires vous plaisent?
    Alors n'hésitez pas a mettre quelque commentaires.



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  • Voila, une très belle intervention que je vais vous contez.
    C'était un vendredi après-midi,il était environ 15h30 quand la sonnerie retenti, ça y est on décale.
    Je me suis précipité dans le camion pour partir en inter sur le périphérique a 10 minutes de la caserne,mon chef d'agré qui était assez souriant ce jour la,était content que je sois la pour cette inter.
    Il me regarda et me dit:"leong, tu vas surement vivre le moment le plus beau de ta vie aujourd'hui."
    je lui répliqua tout de suite:"sergent,vous êtes sur que sa va être une belle inter pour moi?".
    (le sergent)"oui,leong tu verras je suis sur que tu vas apprécié."
    Puis,il se tue jusqu'à ce que l'on arrive sur les lieux.

    Il recommença à me regarder et me sorti du camion en quatrième vitesse tout en me disant:"leong, a toi de jouer,l'inter c'est pour une femme enceinte qui a terme".
    je me suis mis a tremble alors que j'avais un sourire jusqu'au oreille, j'avais peur de décevoir mon sergent(il faut dire qu'il m'avait pris sous son aille pour me former correctement sur le terrain).
    Nous sommes arrive prés de la dame et la, OH!!,stupeur,elle avait déjà commencer le travail,elle nous dit a peine arrive a cote d'elle:"je peux plus me retenir, il faut que je pousse!!!!!!!".
    Je pris le brancard pour l'installer correctement dans le camion,pendant que le sergent demanda une assistance pour un accouchement d'urgence et pour que l'on puisse avoir un médecin le plus rapidement possible sur les lieux.
    Mais a peine installer dans le camion, la dame poussa tellement fort que je vis la tête de son bébé,j'ai appelé d'urgence mon sergent pour qu'il nous rejoigne derrière,mais je n'ai eu le temps ni de venir ma phrase, que je ma retrouvais pratiquement avec un nouveau née dans les bras (je vais vous dire que ce jour la,j'avais un sourire qui rayonna plus fort que le soleil).

    Le sergent arriva enfin et me dit tout calme:"alors,tu vois que je t'avais dit que ce serait une belle intervention",puis il commença a me charrier car il me regarda de la tête au pied et se mit a rigoler et me dit:"j'espère que tu as dit que c'était une belle petite fille à la dame".
    Moi bien sur gros nigaud que je suis lui répliqua avec le bébé dans les bras:" ba,non,j'ai pas eu le temps dis pense,je suis trop content d'avoir fait ça dans ma vie",la dame me regarda avec un joli sourire et me dit d'une voix douce et fatigué:"ba,vous au moins, je suis pas prête de vous oublier,mais je peux vous reprendre ma fille,je voudrais l'avoir dans mes bras".

    eh bien,tout ce que,je peux vous dire pour clore cette histoire,c'est que je me suis retrouve avec un sourire d'ange pendant environ trois jours et que par la suite je pris contact avec la dame pour y prendre de ces nouvelles.
    Voila,j'espère que cette histoire vous a plus car moi, en l'écrivant, je me suis retrouve avec le sourire jusqu'au oreille et un très bon souvenir dans ma tête.


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  • Nous étions un lundi matin,je venais de sortir de 4 mois de formation intense et je venais d'arriver dans ma nouvelle caserne qui se trouve  porte de champerret.

    Je venais juste d'arriver,et me suis présenté a mon capitaine de compagnie,il me mit à l'aise tout de suite et me présenta mes collègues.

    je m'installai dans mon nouveau "chez moi",quand la sonnerie retentit,oui, cette sonnerie était bien pour moi je décalais (décaler:terme pompier pour dire que nous partons en intervention).

    Je parti alors dans le vsab,le chef d'agré nous disait dans le camion:"nous partons pour une inter sur personne âgée, un homme de 74 ans qui est coincé sous un meuble,c'est sa femme qui a donné l'alerte";dans le camion ,j'étais tout excité et inquiet en même temps.

    Quelques minutes plus tard,nous arrivions sur les lieux et commencions à aller dans l'appartement,et oui cette appartement ce trouvant au 7 ème étage,nous primes les escaliers pour y aller (je m'explique:"vous ne verrez jamais un pompier prendre un ascenseur en inter,vous savez pourquoi? non,pour éviter de rester bloquer dedans si celui-ci tombe en panne,et oui ).

    Nous voilà arrivé à la porte de l'appartement, une veille dame nous ouvrit.

    Nous demandions:" ou se trouve votre mari?".

    Elle nous répondit toute paniquée:"il se trouve dans le salon sous le meuble".

    Nous entrâmes dans le salon et le chef d'agré commença à nous poster pour pouvoir dégager le mari de dessous le meuble.

    Notre chef lui demanda:"monsieur,vous m'entendez,vous avez mal quelque part?".

    Le monsieur répondit d'une voix faible:"je ne sens plus mes jambes,je ne sens plus mes jambes".

    Le chef pris la décision de le dégager et me plaça aux niveaux des épaules,pour pouvoir le dégager pendant que mes collègues soulevaient le meuble(je précise que le meuble était,un vieux meuble avec un énorme miroir au milieu de 2 éléments).

    Le chef,nous dit: "prêt pour lever,levez!".

    Puis il m'aida a dégager le monsieur,cependant, on dégagea seulement la partie supérieur du corps jusqu'au bassin ,et, il se vida entièrement de ses entrailles devant nous,je ne vous explique pas ma tête quand j'ai vu ce spectacle horrifiant qui se passait devant moi.

    Sa femme était en panique et cria de toutes ses forces:"mon chéri non,non,non,il est mort,non!!!!".

    je me mis presque à vouloir vomir de ce spectacle, mais me retenu.

    Je vais éviter de rentrer trop dans le détail sur la suite des évènements,car je veux respecter la mort de cette homme ainsi que la vie privée de sa femme, je reprendrais donc au moment du départ de l'intervention pour rentrer a la caserne,un silence de mort dans le vsab,moi qui était aussi blanc qu'un cachet d'aspirine,et ces images d'horreurs dans mon esprit.

    Nous voilà enfin de retour et notre capitaine avait eu vent de notre inter et me fit passer devant le psy de la caserne pour que je puisse évacuer cette vision morbide de ma première intervention.

    Je clôture ici cette première histoire dans la vie d'un pompier.


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